EUROPE / ESPAGNE - La situation, les problèmes et les initiatives de la Compagnie de Jésus seront à l’étude des Supérieurs Majeurs de la Congrégation à partir du 26 novembre à Loyola

jeudi, 10 novembre 2005

Rome (Agence Fides) - Examiner la situation, les problèmes et les initiatives de toute la Congrégation, et, après une réflexion, la prière et la discussion des différents thèmes, arriver à formuler des recommandations pour la Compagnie de Jésus : tel est l’objectif de la Réunion des Supérieurs Majeurs de la Compagnie le 26 novembre prochain à Loyola en Espagne (26 novembre 3 décembre). Il y aura le Préposé général, le Père ¨Peter-Hans Kolvenbach, et les Supérieurs Majeurs (Provinciaux, Régionaux, et Présidents des Conférences) pour un total de 130 personnes. Après le discours du Préposé Général sur l’état de la Compagnie, le programme des travaux prévoit l’examen de quatre questions : Gouvernement de la Congrégation (structures, problèmes, collaboration) ; Priorités apostoliques (Afrique, Chine, apostolat intellectuel, réfugiés et migrants, Maisons romaines) ; Formation (vocations, qualité de la formation, les membres qui ont quitté la Compagnie) ; Collaboration avec les laïcs et autres réalités extérieures à la compagnie. Chaque thème sera traité en trois étapes : présentation en assemblée plénière avec des questions et des éclaircissements, travail de groupe ; rapports des travaux de groupe en assemblée plénière. La session d’ouverture de la Rencontre aura lieu le samedi 26 novembre dans l’après-midi et sera suivie d’une Messe concélébrée présidée par le Préposé Général. La clôture se teindra à Javier le samedi 3 décembre, fête de Saint François Xavier, à l’occasion de l’inauguration de l’Année Jubilaire de la Compagnie, et sera présidée par l’Archevêque de Pampelune. D’après les données fournies par la Curie Généralice de la Compagnie de Jésus, mises à ; jour au 1° janvier 2005, il y avait 19.850 Jésuites : 13.966 prêtres, 3.054 scolastiques, 1.921 frères, et 909 novices. (S.L.)
(Agence Fides, 10 novembre 2005, 24 lignes, 309 mots)


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