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Rome (Agence Fides) - Des inondations qui ont dévasté l’Asie à la sécheresse qui touche l’Afrique, de l’effet de serre à la fonte progressive des glaciers de la moitié du monde, il y a de nombreux risques qui mettent en péril la situation alimentaire mondiale. Toutefois, les guerres restent le facteur principal de la persistance de la faim dans le monde, avant le SIDA. Telles sont les données, fournies pendant la 31° Session de la Commission sur la sécurité alimentaire du monde, qui se terminera le 26 mai à Rome à la FAO.
Les conflits armés ne se limitent malheureusement pas à détruire les pays concernés, mais touchent aussi les pays voisins, en aggravant l’économie de tous les pays, et en rendant précaires les conditions de vie des réfugiés. Pour cette raison, la paix est considérée comme une condition de base pour réduire la famine, elle encourage les investissements, et permet le développement économique et social. En outre, les conflits sont un des principaux obstacles pour le développement soutenable. D’autres éléments nuisent aux efforts faits pour déraciner le problème de la faim ; ce sont les désastres naturels, et les maladies des plantations et des animaux. (A.P.)
(Agence Fides, 25 mai 2005, 18 lignes, 225 mots)
