AMÉRIQUE/USA - 50 ans de présence guanellienne : reconnaissance et renouvellement de l’engagement envers les pauvres

lundi, 20 septembre 2010

Chelsea (Agence Fides) - La réunion annuelle aux États-Unis des membres de l’Ordre de Don Guanella vient de se terminer. La réunion, qui s’était ouverte le 15 septembre à Chelsea, prend une signification particulière cette année, 50e anniversaire de la présence guanellienne en Amérique, qui sera célébré le 26 septembre prochain au Centre Saint-Louis à Springfield. Ce mois-ci ont lieu diverses célébrations auxquelles prennent part des religieux, des religieuses, des collaborateurs, des donateurs, des invités et des amis de l'Œuvre, pour en partager les valeurs et les objectifs. Présents depuis 1960, les Guanelliens s’occupent aux États-Unis d’un centre d'hébergement, le St. Louis Center, à Chelsea, qui accueille 25 enfants et 35 adultes, hommes et femmes souffrants de handicaps divers. A Rhode Island ils sont présents dans la paroisse du Sacré-Cœur, reliée à une école maternelle pour 32 enfants et à une école primaire pour 132 jeunes ; à Grass Lake (Michigan) avec l'Union Pieuse de Saint-Joseph et à Springfield avec la Maison de formation. Le St. Louis Center est une maison de promotion et de réhabilitation vivement souhaitée par le diocèse de Detroit, pour les enfants en difficulté. En 1970 sa gérance fut transmise aux Guanelliens, invités par le Cardinal Mooney, archevêque de Detroit. Il y a cinq religieux guanelliens qui s'occupent de la formation spirituelle, de la gestion et de l'administration du Centre. A leurs côtés travaillent une soixantaine de personnes pendant l'année, et soixante-dix durant l'été. Il y a aussi de nombreux bénévoles, qui font le même travail que les employés. Il y a aussi des groupes de volontaires et le mouvement laïc avec des centaines de membres qui, par leur témoignage de charité et leur dévouement témoignent à leurs amis et à leurs connaissances de l'amour de Dieu pour tous, en particulier pour les plus pauvres et les abandonnés, contribuant largement au financement des programmes de réadaptation. (AP) (Agence Fides 20/9/2010 ; 22 lignes, 311 mots)


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