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La deuxième partie du Dossier Fides « sur le cinéma qui vient de loin » réalisé par Miela Fagiolo d’Attilia sera publiée demain, samedi 26 juillet. Cette deuxième partie est consacrée à la cinématographie africaine : « Tracer un cadre du cinéma africain contemporain est un défi pour entrer dans les contenus d’une production variée et riche bien que dans de nombreux pays du continent le cinéma soit une réalité culturelle qui commence à exister seulement dans la seconde miotié du 20ème siècle. Bien que l’importance du septième art soit comprise et développée par de nombreux intellectuels, le cinèma rencontre des diffultés pour s’implanter dans un continent où on lutte contre les guerres, la pauvreté, l’analphabétisme. C’est justement parce que le cinéma est un ensemble d’images et de sons qu’il représente un excellent moyen d’émancipation socio-culturelle et de liberté d’expression pour la promotion de l’Afrique vue par les africains. Une génération de metteurs en scène réussit à appraître sur la scène internationale bien qu’on puisse constater aujourd’hui que, à part l’Egypte, la Tunisie et L’Afrique du Sud, une véritable industrie du cinéma et de l’audiovisuel n’existe pas encore ».
Notre voyage, suivant une pellicule parcourant des milliers de kilomètres, s’arrêtera sur des réalités plus récentes de quatre parties du monde : 1) le Maghreb, 2) l’Egypte, 3) l’Afrique centrale, 4) le sud de l’Afrique.
La première partie du dossier a été publiée samedi 19 juillet. La troisième partie, consacrée à la cinématographie de l’Asie, sera publiée samedi 6 septembre.
(S.L)(Agence Fides 25/7/2003)
