ASIE/INDE - Production d’une vidéo musicale sur la vie de Jésus en langue bengali

vendredi, 24 mars 2006

Calcutta (Agence Fides) - “Jésus parle aussi le bengali”, est le message de l’Evangile arrivé à travers un moyen expressif comme la musique. Effectivement la production d’une vidéo musicale sur la vie de Jésus en langue bengali a été lancée après un temps consacré à trouver les ressources économiques pour la production. Parmi les promoteurs et les supporteurs de l’initiative, informe l’Agence salésienne Ans, les Filles de Marie Auxiliatrice de Calcutta et les Coopérateurs salésiens de la même zone, qui ont pensé à la vidéo comme un instrument d’évangélisation et surtout une possibilité pour gagner les jeunes générations à sa cause. Les organisateurs prévoient de conclure la production de la vidéo intitulée “Manobtrata/Jishu” (“Jésus, Sauveur de l’humanité”), pour Pâques 2006.
Ces jours-ci les vidéos qui ont vu la participation d’une chanteuse locale connue nommée Sonajit Mondol se terminent. D’après Anup Kolay, spécialiste en vidéo publicitaire qui travaille au projet, pour le “lieu” de la vidéo, les rives du Gange où il a été possible de faire les vidéos d’après le programme ont été choisies et cela grâce aux excellentes conditions météorologiques.
Le projet entend se tourner vers 175 millions de personnes de langue bengali qui vivent en Inde et au Bangladesh. Un projet semblable a déjà été lancé à l’occasion de Noël dernier, quand le message du Christ a été approfondi sur le petit écran en langue bengali : un canal de télévision indien, a effectivement envoyé en onde dans la période de Noël un programme sur Jésus. “ETV Bangla”, canal satellite en langue bengali, a consacré à la religion chrétienne 15 épisodes d’un programme populaire de méditation matinale pour expliquer la signification authentique de Noël au public indien, grâce aux interventions de Don Robin Gomes, Salésien, collaborateur de la Commission pour les Communications Sociales de l’archidiocèse de Calcutta, un des directeurs du programme. (Agenzia Fides 24/3/2006 righe 21 parole 313)


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